Derniers préparatifs

Dernières vérifications de Jean-Jack


Tout va bien, et le pavillon est là


La flotte attend le signal du départ


Même si certains sont déjà en maillot!

L'attente

L'attente sur terre et sur l'eau





Pierre a déjà degainé!


Georges et Pascal, discutent des mérites de la chauffe au charbon!


La navigation devient dense!

C'est parti!

Ca commence à bouger en haut de la pente!


La c'est vraiment parti! mètre après mètre...


Il ne faut surtout pas que Suzanne descende trop vite, il n'y a pas beaucoup d'eau, la Seine est basse



Des flotteurs ont été installés à l'arrière pour soulager le poupe


ELLE FLOTTE !!!!


Amarrage au ponton pour la mise en chauffe de la chaudière

Derniers préparatifs avant la mise en chauffe

Ballade en attendant la montée en pression

Ca va peter je te dis, ca va peter!


La voile, c'est beaucoup plus cool!


L'aviron, c'est plus romantique, surtout avec une jolie femme qui vous regarde ramer


Pascal et Georges en profitent pour se couvrir d'hule et de poussières de charbon


C'est pas le tout, il faut que je prenne des photos pour mon blog


Fierté d'être à la barre de Mélusine, sous le regard de sa soeur


Un petit tour en remorque, pendant que la pression monte


Pendant que d'autres tirent des bords


Et que nous avons bien failli passer sous une peniche qui déboulait plein pot sans prévenir, alors que nous avions bien du mal à manoeuvrer avec le safran bricolé, trop court, il ne descendait pas devant le flux de l'hélice, nous n'avons Georges et moi evité le désastre que grace à une marche arrière à toute vapeur et au déroutement en catatrophe de la péniche, ouf!

Elle navigue

Et voila Suzanne navigue à la vapeur!


Bravo à Séquana, à tous ses membres et à tout ceux qui ont participé à cette superbe journée,
félicitations à Jean-Jack et à l'équipe machine pour cette mise en oeuvre (Merci aussi à notre Jean-Jacques pour l'aide qu'il a apporté)

Au revoir et à bientôt


Quand à nous, il ne reste plus qu'à remettre le bateau de Patrice sur sa remorque et à rentrer!

Alors Georges, un petit coup de blues !